| | Reine. Passer notre amour à la machine. | |
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Reine V. Black
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| Sujet: Reine. Passer notre amour à la machine. Lun 8 Mar - 18:07 | |
| ___ REINE« cette pensée ne le quittait plus. c'était une obsession, une angoisse perpétuelle.. »Le petit chose.___ « fragile, douce, attentive, possessive, malade, farouche, ambitieuse, logique, romanesque, sensible, émotive, présomptueuse, égoïste, opportuniste, interdite, secrète, méticuleuse, calculatrice, déterminée, fière, emphatique, amère, irrésistible, adroite, cultivée, hargneuse, jalouse, ingénieuse, rancunière, susceptible, passionnée, indifférente, bouillonnante, excessive, véhémente, travailleuse, méfiante, tiraillée. Vilain petit canard. »
Reine Victoire Constance Loreley Gabrielle Andromeda Cedrella Dolorès Mathilde Louison Valentine Black. Dix-sept ans. Septième année. Française. Anglaise. Marquise de Beaufort. Malade. Dans quelle maison la mettrez vous, ô Choixpeau ?
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| | | Reine V. Black
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| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Lun 8 Mar - 18:07 | |
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Il y a là la peinture, des oiseaux, l'envergure qui luttent contre le vent. Il y a là les bordures, les distances, ton allure quand tu marches juste devant. Il y a là les fissures, fermées les serrures comme envolés, les cerfs-volants. Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement. Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi. Parfois, on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
« Je ne sais pas pourquoi tu continues à venir tous les jours, à chacune de tes pauses, dès que tu as du temps libre, et tout ce manège extraordinaire pour simplement me regarder... Au lieu de rester là à te morfondre, tu ferais mieux d'aller prendre l'air, de te trouver une copine, de réviser tes cours, enfin, tu vois le tableau, tu ferais mieux de faire quelque chose d'utile, car tu sais, il n'y aura jamais aucun miracle, comme il y en a parfois dans les histoire de contes pour enfants. Tu n'arriveras jamais, en trombe, un matin, dans l'infirmerie pour découvrir que mon lit est vide. Jamais tu ne croiras m'avoir perdue – car je serai toujours là, clouée au sol et prisonnière d'un lit. Et surtout, jamais je ne sortirai de derrière un meuble, où je me serai cachée pour te faire la surprise, sourire éclatant aux lèvres et pleine de vie pour finalement te sauter au cou et t'annoncer que je suis guérie. Jamais, ce jour ne viendra. Alors voilà, je mourrai jeune, peut-être et, crois-moi si tu veux, cette pensée me terrorise. Je me meurs un peu plus chaque jour, tiraillée entre l'envie d'être comme toi, comme les autres, comme tout le monde, et le doux et fou espoir, que dis-je, le doux et fou désir, plutôt, de réussir malgré tout. Mais souvent, j'ai peur, j'ai peur que les ambitions ne dépassent le personnage et ne le dévorent. J'ai peur qu'on oublie, qu'on m'oublie. J'aimerai pouvoir demander de l'aide mais je n'ose. J'aimerai pouvoir crier à l'injustice mais je suis trop fière pour cela. J'aimerai pouvoir pleurer sur une épaule mais là encore, j'ai trop de principes pour baisser les bras. J'aimerai me blottir entre tes bras mais j'ai peur de te faire mal et plus encore de me faire mal. Je ne suis pas invincible, je suis humaine, j'ai mes propres faiblesses et pourtant, je suis aveugle. Oui c'est triste, c'est pathétique même, mais dans la vraie vie, les fins heureuses n'existent pas. »C'est dans les rêves que les bergères épousent des princes, disait la chanson. C'était la dernière page, écrite il y a cinq jours, et nulle erreur n'était possible, c'était bien à moi que ces mots s'adressaient, sauf que je n'étais pas destiné à les lire. J'aurai reçu une claque en pleine figure ou un seau d'eau glacée sur la tête – voire les deux combinés – que l'effet n'aurait pas été bien différent. Satanée Reine. La seule fille au monde capable d'humidifier mes yeux d'habitude si étanches, mais putain, qu'est-ce qu'elle est touchante. Ce ne sont que des mots jetés sur le papier, des mots, je le sais bien, qu'elle ne prononcera jamais, et surtout pas devant moi, mais voilà, c'est triste et cruel mais aussi beau et touchant. Je l'adore et la hais, les deux à la fois, pour ce qu'elle est, pour ce qu'elle fait, pour ce qu'elle me fait et pour tout ce que je découvre au fil du temps. Je dois à présent vous confesser que j'ai trouvé, par hasard, son journal intime – moi qui était pourtant sûr que Reine n'était pas fille à tenir un journal – et je n'ai, comme vous le soupçonnez, pas pu m'empêcher d'y jeter un coup d'œil, juste un coup d'œil, me suis-je dit. Mais Reine a une jolie plume et c'est sans la moindre lassitude que j'ai littéralement été plongé, tout à fait absorbé, dans l'histoire de sa vie. D'ailleurs, en vérité, ce n'est même pas un vrai journal intime mais plutôt un journal d'impressions, ou de manière plus générale, un journal de notes personnelles. En effet, en tournant les pages, on s'aperçoit que les écrits ne sont pas tenus dans un ordre chronologique et qu'elle peut, par exemple, revenir aujourd'hui sur un épisode vécu il y a dix ans. Parfois, à certaines dates, ne sont écrits que quelques mots, voire un seul, comme le 8 janvier 2022 où il y a écrit amertume. On peut aussi trouver des dessins – car Reine adore le dessin – des croquis, des photos, des brochures et même des articles de presse qui l'ont marquée, qu'elle a parfois commenté de quelques lignes écrites à l'encre de chine, mais bien sûr, les trois quarts du contenu relatent ses impressions ou souvenirs intimes sur les évènements les plus marquants de sa vie. Que Dieu pardonne mon indiscrétion. Dans l'une des premières pages, il y a cette photo de famille avec, en arrière plan, un beau château normand. Heureuse famille, si l'on en croit les sourires et signes de la main que nous renvoient les quatre personnages. Il y a cet homme, grand, brun, en un seul mot, beau. Paire d'yeux gris impénétrables et sourire ravageur, son visage, bien que marqué par la prison, est narquois et rieur. On le devine plus âgé que la jeune et jolie femme de la photo, mais, à côté d'elle, il semble rajeunir de dix ans. Tous deux sont accroupis et, entre eux, clairement imposées, se trouvent les deux trésors. Catherine et Reine. Les deux poussins aux boucles d'or. Deux visages naïfs, insouciants et radieux. S'ils étaient déjà au courant pour la maladie de leur fille cadette, c'est difficile à croire en regardant cette vieille photographie et ces visages épanouis, mais ce n'est pas impossible. Après tout, je sais qu'ils ont découvert cette fichue maladie coronaire dont j'ai oublié le nom quelques années après sa naissance, d'ailleurs, Reine n'aurait très certainement pas été condamnée si son mal n'avait pas été décelé trop tard. Quel âge pouvait-elle bien avoir alors ? Quatre, peut-être cinq ans ? Il suffit de tourner les pages, me direz-vous. C'était comme plonger dans une pensine, comme lire une histoire, en vérité, Reine avait écrit une histoire, son histoire, d'un point de vue, je crois, cruellement objectif. Le dix-huit août 2011, domaine des Lanonyère. « C'était un jour comme les autres, non. Évidemment, ce n'était pas un jour comme les autres, et tout le monde au château remuait ciel et terre pour préparer la grande fête. Ce jour là, Alice avait sept ans et sa petite sœur trainait les pieds en boudant. « Fais pas la tête Grenouille » avait-elle dit, « toi aussi tu as fêté ton anniversaire. » Oui, peut-être, mais, déjà petite, elle n'aimait pas céder le devant de la scène. D'habitude, c'était facile, Alice et Reine étaient les vedettes et partager le trône avec sa sœur ne lui posait pas problème. Elle aimait énormément sa sœur, elle l'aimait comme on aime sa meilleure amie, son modèle, son aînée. Mais lui céder sa place, c'était tout autre chose, c'était rester dans l'ombre quand l'autre était dans la lumière. Pour deux enfants de cinq et sept ans, bien sûr, ça ne signifie rien, c'est un jeu inconscient, automatique, et tout à fait naturel mais de ce jeu, quelques années plus tard, naitra une jalousie inavouée entre deux sœurs aux personnalités bien différentes mais toutes deux si éloquentes qu'elles ne cessent de se heurter l'une à l'autre.
Cependant, l'ambiance festive du château avait eu tôt fait d'appâter le sourire de la petite Reine et d'effacer toute trace de mouvements d'humeur. D'ailleurs, elle s'était mise au travail, quoique de mauvaise grâce et sous pression paternelle, en aidant à dresser une immense table pour la quarantaine d'invités attendue au repas, Reine s'était même auto-désignée au pliage en éventail de toutes les serviettes, aussi nombreuses soient-elles. Ça, c'était une preuve de dévouement.
La fête aurait sans doute été merveilleuse, très réussie, et les invités, s'ils étaient venus, seraient sans aucun doute repartis le ventre plein et le cœur léger. Mais voilà, cet hibou est arrivé, et la nouvelle qu'il apportait était si désastreuse que plus personne ne songea à faire la fête, hormis, peut-être, les deux poussins blonds.
Julia ▬ C'est une lettre de l'hôpital... Tu te souviens de cet examen que Reine a passé ? Eh bien, eh bien... Sa voix se brisa en un ravalement de sanglot. Elle tendit la lettre à son époux, qui, l'air soucieux et les traits tirés, se rapprocha d'elle pour entourer ses épaules de ses mains protectrices. De ses yeux, il chercha ses deux trésors, où étaient-elles ? Ah, elles étaient là, sous le chêne, Dieu qu'elles étaient belles. Il croisa le regard de la plus jeune et celle-ci crût découvrir une lueur émoussée dans les prunelles charbonneuses de son père. Insouciante, elle haussa les épaules et repartit jouer avec sa sœur, elle avait eu, bien sûr, un moment d'hésitation, mais c'était passé. Sirius, quant à lui, se promit de ne jamais voir en Reine que sa môme adorée, il décida que sa différence ne changeait rien. » Les passages suivants racontent tous la même chose : c'est l'histoire d'une enfant curieuse, espiègle et fragile qui voit tous ses rêves s'envoler. Reine ne court pas, Reine ne danse pas, Reine de crie pas, Reine ne sort pas, on le lui a interdit. Elle a bien essayé de désobéir, elle a même réussi, mais à peine eut-elle posé un pied dans la neige que le vent glacial de l'hiver la fit tomber à la renverse. Peut-être était-ce la mauvaise saison, pensa-t-elle. Alors Reine réitéra l'expérience au printemps et bien mal lui en prit. C'était l'une des premières journées ensoleillées et chaudes de l'année, et, s'ennuyant fermement à l'intérieur, la fillette avait humblement décidé de s'essayer au Quidditch, malgré les interdictions données. Elle s'était faufilée dehors à l'insu de sa grand-mère qui la croyait assise devant son piano et avait emprunté le balai de sa sœur qui n'avait pas eu l'autorisation de l'emporter à Poudlard pour sa première année. Elle tremblotait légèrement, d'excitation mais aussi parce qu'elle était consciente d'enfreindre les règles, toutefois, le balai lui avait obéi et l'avait emportée dans les airs. Pas bien haut, heureusement, car prise d'un vertige soudain et sentant son cœur battre bien plus vite qu'il n'aurait dû, elle n'avait su maitriser sa chute. « Inconsciente » avait sangloté sa mère, « la fille de son père » avait vociféré sa grand-mère, ledit père, lui, n'avait rien dit. Il s'était contenté d'un regard douloureux et désolé pour sa fille, songeant sans doute à ce qu'il serait lui même devenu si, adolescent, il n'avait pu jouer au Quidditch. Quoiqu'il en soit, la petite avait écopé de griffures au visage et sur les genoux, était restée clouée au lit pendant trois jours et avait eu mal au cœur, aux jambes et à la tête pendant toute une semaine. Ce fut suffisant pour qu'elle retînt la leçon. Sans doute est-ce à cette même époque qu'a commencé sa longue ascension vers le savoir, le mutisme, la flegme et l'avarice. Les pages racontent ainsi comment l'enfant mutine devint un rat de bibliothèque hargneux mais incontestablement cultivé, souffrant à la fois du soleil brûlant de l'été et du froid glacial de l'hiver, se plaignant de l'eau trop chaude mais craignant plus encore l'eau trop froide. Jeune fille qui va lancer une œillade furieuse, méprisante et chargée de reproches à sa sœur – rentrée pour les vacances – lorsqu'elle passera sous sa fenêtre ouverte, courant et chantant à tue-tête, mais qui ne manquera pas de soupirer d'envie avant de replonger dans ses cahiers. Reine est comme ça, elle n'arrive pas à prendre parti pour quoi que ce soit, elle n'arrive pas à déterminer ses opinions, ni à les associer à un mot en particulier. Elle sait qu'elle ne peut pas à la fois aimer et détester quelque chose. Elle sait qu'il faut choisir mais préférer l'un à l'autre, émettre un choix, c'est bien trop difficile. Et moi, si je devais ne dire qu'un seul mot, je choisirai irrésistible. Elle se voudrait orgueilleuse et indépendante, elle voudrait nous faire croire qu'elle est forte, d'ailleurs, elle même y croit dur comme fer, mais ses yeux lancent des signaux de détresse que seuls les aveugles ne peuvent voir. Et puis Reine est contradictoire, par exemple, son plus grand désir, sa plus grande conviction, est d'éblouir ceux qui la croyaient incapable. Elle ne veut plus lire la pitié dans les yeux qui croisent son chemin mais de l'admiration, du respect, de la crainte. Elle voudrait faire taire le râle incessant d'apitoiement qui la poursuit partout. Mais, à côté de tout ça, Reine déteste se salir les mains, alors, consciente de l'élan de bonté qu'elle suscite chez les autres, la jeune fille s'est faite comédienne, c'est le meilleur moyen qu'elle ait trouvé pour en venir à ses fins. Elle sait qu'on ne peut rien lui refuser, alors elle en profite : Reine simule un tourment et combien, dès lors, sont-ils à se précipiter ? Elle n'a qu'à lever le petit doigt et ils partiront lui décrocher la lune. Alors Reine sourit faiblement, elle s'ennuie de cette mascarade mais c'est trop confortable pour y mettre un terme. Tu devrais freiner, Reine, avant de sombrer dans le précipice. Et puis, si tu veux prendre ma main, prends-la bordel.
Il y a là les mystères, le silence sous la mer qui luttent contre le temps. Il y là les bordures, les distances, ton allure quand tu marches juste devant. Il y a là les murmures, un soupir, l'aventure, comme emmêlés les cerfs-volants. Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement. Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi. Parfois, on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Dernière édition par Reine V. Black le Sam 13 Mar - 17:28, édité 37 fois | |
| | | Reine V. Black
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| | | | Alice C. Black TRY ME ▬ we'll see who win
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| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Lun 8 Mar - 18:12 | |
| Bienvenue, chère petite sœur <3 Hâte de lire ta fichette <3 | |
| | | Reine V. Black
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Lun 8 Mar - 18:44 | |
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| | | Reine V. Black
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| | | | Angie W.Rhys
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Mar 9 Mar - 1:19 | |
| Bienvenue!!! Et que la force soit avec toi! |
| | | Reine V. Black
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| | | | Linaewen Van Alen
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| | | | Reine V. Black
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• Chocogrenouille • Crédit(s): Emy ; LJ. Célébrité: Clémence Poesy. Année: 7ème année
| | | | Lucifer D. Volkov DARK KNIGHT I can’t see why you don’t let me
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• Chocogrenouille • Crédit(s): L.Pleasure & JS (gif) Célébrité: Josh Hartnett Année: 9ème année
| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Mar 9 Mar - 17:31 | |
| Haaaaan … Mais je me disais bien que ça ne pouvait qu'être ma vénale favorite (oui, j'ai mit le temps… mais mieux vaut tard que jamais (a) ) | |
| | | Reine V. Black
Messages : 120 Date d'inscription : 08/03/2010 Age : 32 Localisation : entre ciel et terre.
• Chocogrenouille • Crédit(s): Emy ; LJ. Célébrité: Clémence Poesy. Année: 7ème année
| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Mar 9 Mar - 17:33 | |
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| | | Juliet Granger-Krum
GRANGER ▬ i wanna be bad with you, babe. »
Messages : 157 Date d'inscription : 04/03/2010 Age : 32
• Chocogrenouille • Crédit(s): Ally bee (c) Célébrité: Kristen Stewart. Année: 8ème année
| | | | Evelyn M. Smith
Hurtby l♥ve, my smile is a lie.
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• Chocogrenouille • Crédit(s): YOUNG FOLK. Célébrité: Mischa Barton Année: 8ème année
| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Mer 10 Mar - 19:29 | |
| - Citation :
- Il y a là la peinture, des oiseaux, l'envergure qui luttent contre le vent. Il y a là les bordures, les distances, ton allure quand tu marches juste devant. Il y a là les fissures, fermées les serrures comme envolés, les cerfs-volants. Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement. Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi. Parfois, on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas.
Haaan cette chanson
Bref, Bienvenue (Même si t'es arrivée avant moi ) & Bon courage pour le reste de ta fiche | |
| | | Reine V. Black
Messages : 120 Date d'inscription : 08/03/2010 Age : 32 Localisation : entre ciel et terre.
• Chocogrenouille • Crédit(s): Emy ; LJ. Célébrité: Clémence Poesy. Année: 7ème année
| | | | Agnès E. Londubat Nothing's like a smile.
Messages : 82 Date d'inscription : 08/03/2010 Age : 29 Localisation : Poudlard
• Chocogrenouille • Crédit(s): Tiffany & Coclico Célébrité: Ashley Greene Année: 10ème année
| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Mer 10 Mar - 21:17 | |
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| | | Linaewen Van Alen
« Love is my nightmare »
Messages : 123 Date d'inscription : 08/03/2010 Age : 31 Localisation : au pays imaginaire :D
• Chocogrenouille • Crédit(s): Avatar > Mymz || Signature > Livejournal (paroles : Untitled by Simple Plan) Célébrité: Kristen Bell Année: 8ème année
| | | | Reine V. Black
Messages : 120 Date d'inscription : 08/03/2010 Age : 32 Localisation : entre ciel et terre.
• Chocogrenouille • Crédit(s): Emy ; LJ. Célébrité: Clémence Poesy. Année: 7ème année
| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Jeu 11 Mar - 0:48 | |
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| | | Reine V. Black
Messages : 120 Date d'inscription : 08/03/2010 Age : 32 Localisation : entre ciel et terre.
• Chocogrenouille • Crédit(s): Emy ; LJ. Célébrité: Clémence Poesy. Année: 7ème année
| | | | Edwen H. Westerman
Messages : 25 Date d'inscription : 08/03/2010 Age : 33
• Chocogrenouille • Crédit(s): (c) Gwn. Célébrité: Bonnie Wright. Année: 8ème année
| | | | Alice C. Black TRY ME ▬ we'll see who win
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• Chocogrenouille • Crédit(s): (c) Prejudice Célébrité: Anne-Marie Van Dijk Année: 9ème année
| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. Dim 14 Mar - 0:38 | |
| REINETTE !!! Ma Grenouille <33 JE T'AIMEUHH <333
Fiche Validée bien entendu - Et direction Serdaigle pour toi petite soeur <3 | |
| | | Reine V. Black
Messages : 120 Date d'inscription : 08/03/2010 Age : 32 Localisation : entre ciel et terre.
• Chocogrenouille • Crédit(s): Emy ; LJ. Célébrité: Clémence Poesy. Année: 7ème année
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| Sujet: Re: Reine. Passer notre amour à la machine. | |
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| | | | Reine. Passer notre amour à la machine. | |
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