- Chapter ONE
« Once upon a time...»
Une famille dysfonctionnelle de la base ville en Italie... Non. Une famille monoparentale dont la mère avait fuit la famille… Non. Un père qui battait ses enfants? Un oncle qui agressait ses neveux? À moins que ce ne soit des parents alcooliques ou encore une orpheline? Non, non, non et non.
Dans une petite villa d’Italie, une famille de sorciers comme il en avait tant d’autre dans le monde des moldus. La famille Folco Ferrucio n’avait rien d’exceptionnelle sinon que tous les membres de la famille avaient fréquenté Poudlard. Et comme tout le reste de sa famille, Eleavia s’en allait elle aussi accéder à Poudlard. La jeune fille célébra son onzième anniversaire quelques semaines avant la rentrée et pour l’occasion on avait invité toute la famille, oncles, tantes, cousins, cousines.
FAMILLE – Bonne fête Ele!
C’est dans la joie et la bonne humeur qu’Eleavia ferma les yeux en faisant son souhait d’anniversaire. Elle se pencha sur la table observer par des dizaines de paires de yeux impatient de voir cette nouvelle année commencer pour la jeune cadette de la famille.
ELEAVIA - *Je souhaite être à Gryffondor *
Sur ce vœu, Eleavia inspira longuement puis souffla de toutes ses forces. Une bougie demeura allumer mais étrangement lorsque sa mère se gratta le nez elle éteignit. Tous et chacun vinrent embrasser la nouvelle étudiante de Poudlard et offrir à leur tour des présents qui allaient certainement servir pour sa nouvelle école. Un ballet plutôt modeste mais qui était donné avec beaucoup d’amour par sa grande sœur Alicia, des habits d’école, une plume, des parchemins, des livres en tout genre et même un magnifique rat blanc qui devait avoir au moins cent ans car il lui semblait qu’il était sur toutes les photos de finissant de la famille...
La soirée se passa dans une ambiance festive où les enfants couraient d’un bout à l’autre de la maison et les adultes se rappelaient les mauvais coups qu’ils avaient faits à l’époque où ils fréquentaient eux-mêmes Poudlard. Les aînées avaient vécus les sombres années et les moins vieux la remonté.
La fête se termina tard ce soir là. Les invités quittèrent la résidence pour la plupart leurs enfants endormies dans les bras. Eleavia pour sa part ne dormait pas, elle avait beaucoup trop hâte au lendemain pour dormir car son père lui avait promit qu’ils iraient au chemin de traverse compléter ses achats scolaires. C’est sur le toit de la maison que Lucia sa mère la retrouva. Elle alla s’asseoir près de sa fille et la prit par les épaules pour la serrer contre elle.
ELEAVIA – Dit maman, est-ce que je vais garder mes amis de l’école si je pars à Poudlard?
LUCIA – Mais oui ma puce, tu n’auras qu’à leur écrire.
ELEAVIA – Mais je ne peux pas leur envoyer par hibou, ils vont trouver ça bizarre.
LUCIA – Alors ne leur écrit pas, tu te feras de nouveaux amis.
ELEAVIA – Mais je ne veux pas d’autres amis!
LUCIA - Attend un peu de voir Ele, si tu n’aimes pas Poudlard nous te ramènerons à la maison et tu retourneras avec tes amis d’accord?
ELEAVIA – Marché conclu!
La jeune fille embrassa sa mère et se blotti dans ses bras. Lucia la serra fort contre elle, elle savait qu’Eleavia adorerait Poudlard, elle y rencontrerait des gens qui lui ressemble plus et elle éviterait du même coup les cercles vicieux auxquels les adolescents moldus avait affaire, enfin, c’est ce qu’elle croyait.
- Chapter TWO
« Take the apple... »
L’année se passa vite, Eleavia fut envoyé cher les Gryffondors, comme elle l’avait souhaité. Elle s’intégra bien avec les autres étudiants et se fit même quelques amis. Mais étant plutôt discrète elle ne se fit pas beaucoup remarquer. Elle passa une belle année mais sa famille et ses amis moldus lui avaient manqué. Lorsqu’elle descendit du train, toute sa famille l’attendait à l’exception de son frère ainé qui devait sans doute travailler. La petite étudiante se précipita hors du train laissant du même coup tomber sa valise. Sa longue chevelure brune battante au vent, elle couru vers ses parents et sauta dans les bras de son père Philippe. Il la souleva de terre lui fit faire un tour puis la reposa pour qu’elle puisse embrasser le reste de sa famille. Sur le chemin du retour, elle leur raconta tous ses périples, aussi nombreux étaient-ils.
Il se passa quelques jours avant qu’elle ne daigne aller revoir ses anciens camarades d’écoles. Elle les avait un peu largués sans vraiment leur dire où elle allait. Par un Lundi ensoleiller, vêtu d’un jeans et d’un t-shirt bleu assorti à ses yeux, Eleavia décida d’aller au parc afin de voir si elle n’y connaitrait pas quelqu’un. D’un pas incertain, elle emboita le chemin de la passerelle. Elle avait le cœur serrer, ses anciens amis allaient-ils l’accueillir à bras ouvert ou complètement l’ignorer, elle avait été près d’un an complet sans donner de ses nouvelles. Lorsqu’elle arriva à l’entré du parc, elle vit tout ses amis près de la maison de jeune du parc. Tous tapissé à l’ombre, ils semblaient se cacher. L’un d’eux se tourna et aperçu Eleavia. Il plissa un peu les yeux, la scruta du regard puis fini par hurler :
L’AMI – Hey les gars! Matez un peu c’est Ele!
Tout le monde se tourna pour voir si s’était bien elle. On lui fit signe d’approcher mais personne ne se leva pour la saluer. Eleavia s’approcha timidement. Les mains derrière le dos, elle s’avança jusqu’à être elle aussi à l’abri du soleil. Elle avança un peu la tête afin de voir ce que c’est ami fabriquait puis fut surprise de constater qu’ils fumaient en compagnie d’adolescent plus vieux. Elle reconnu qu’un seul d’entre eux, celui qui tenait la cigarette, c’était Carlos son cousin, le seul Folco sans pouvoirs magiques. Bon, ce n’était qu’une cigarette, mais 11 ans c’est un peu tôt pour commencer à fumer. De nature curieuse, Eleavia s’assis avec ses amis, on se poussa pour lui laisser de la place puis Carlos lui tendit la cigarette.
CARLOS – Allez Ele, essaie, dit nous si ils vous font essayer des trucs comme ça à ton école.
ELEAVIA - C'est quoi?
CARLOS – Ça c’est du Bonheur en cigarette Popeye!
Eleavia hésita un moment puis se dit que si s’était son cousin qui lui offrait, ça ne pouvait pas être mal. Elle la prit et la glissa entre ses lèvres et aspira timidement. La fumée envahis d’abord sa bouche et descendit dans sa gorge laissant sur sa langue un goût amer. À mesure que la fumée remplaça l’oxygène dans ses poumons, le blanc de ses yeux s’empourpra. Elle toussa laissant du coup sortir la fumée.
CARLOS – C’est normal Élé’ panique pas, la prochaine passera mieux.
On lui prit la cigarette sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte trop concentrer à chercher son souffle. Quelques secondes s’écroulèrent et l’impression d’asphyxie se dissipa pour laisser place à un sentiment de bien être. Il ne se passa qu’une minute ou deux avant que la cigarette ne revienne à elle, cette fois elle aspira un bon coup et garda la fumée en elle profitant de l’effet. Ce n’était pas si terrible finalement, c’était même plutôt agréable.
CARLOS – Alors la cousine, je te l’avais dit, ce n’est pas si mal avoue.
Elle ferma les yeux et libéra la fumée dans un magnifique sourire, elle tendit la cigarette qui n’en était pas une à son cousin puis se laissa tomber dans le sable chaud. Les nuages prenaient des formes de créatures mythologiques dans le ciel. Elle était habitué aux trucs étranges vu les origines de sa famille mais il fallait dire que jamais elle n’avait prit connaissance d’un tel phénomène.
L’été s’écoula vite, Eleavia passa la plupart de son temps au parc en compagnie de son cousin. Lui fournissant gratuitement ce dont elle avait besoin, Eleavia n’en manqua pas de l’été. Lorsque la rentrée arriva, son cousin lui offrit gentiment quelques rouleaux.
CARLOS – Tien, je t’ai amené ça, c’est pour jusqu’à Noël, te t’en amènerai d’autres à Noël.
ELEAVIA - Je peux très bien vivre sans, t'inquiète.
CARLOS – Si tu le dis. Bonne rentrée gamine.
Carlos était âgé de trois ans de plus vieux qu’Eleavia, il avait donc quatorze ans et se sentait extrêmement exclu car il était le seul membre de la famille à être sans pouvoirs. Quant à Eleavia, non seulement elle avait des pouvoirs, mais en plus elle était l’une des pures sangs de la famille, Carlos aussi était pur sang mais il était tout de même sans pouvoirs et cela le rendait totalement fou. Lorsqu’il avait vu à qu’elle point Eleavia faisait la fierté de toute la famille parce qu’elle était la dernière entrée à Poudlard, Carlos était devenu fou de rage et avait décidé de détruire sa cousine. Il avait parié sur sa naïveté et avait malheureusement eut raison. Eleavia n’avait aucune véritable raison de se laisser tomber dans la drogue et pourtant elle y sombrait tout de même.
- Chapter THREE
«Falling»
UNE VOIX – Court Eleavia! Court!
Son cœur bat à tout rompre, elle court dans une forêt marécageuse, c’est la nuit. Elle ne sait pas où elle s’en va mais elle se laisse guider par ses pieds. Entre les arbres se dessine l’entré d’un havre lumineux. Elle se dirige vers lui. Sa longue chevelure brune bat au rythme du vent, le bat de sa jaquette de coton bleu suit la cadence de ses pats précipités. Elle est nue pied mais ne sent pas la douleur que pourrait occasionner les branches. Elle court toujours de plus en plus vite mais la distance entre elle et le havre demeure la même. Elle fini par se décourager et cesse de courir. Les racines des arbres bouges sous ses pieds, elles se transforment en serres du diable. Eleavia tente de s’en défaire mais plus elle bouge plus elle se fait étouffer. La forêt se met à craquer de tous les côtés. Puis une troupe de gens sort d’entre les arbres, ils se poussent pour voir la scène mais personne ne lui tend la main. Son souffle s’épuise sous les regards curieux, sa vue se brouille, sa gorge lui brûle puis…
Elle se réveilla en sursaut en hurlant à plein poumon réveillant du coup toutes les filles qui partageaient sa chambre. En sueur froide, elle se redressa en se débattant sous les regards ébahis et embêtés des étudiantes.
UNE GRYFFONDOR – Ça ne va pas Élé? Élé réagit merde tu réveilles toute la maison avec tes hurlements et ce toutes les nuits depuis le début de l’année! Tu veux allez à l’infirmerie?
ELEAVIA – Non ça va, j’ai juste fait un cauchemar…
CHUCHOTTEMENTS - Et merde… fait chier… va chez le médecin… aliénée… il accepte vraiment n’importe qui de nos jours à Poudlard...
Toutes les filles se retournèrent dans leur lit chuchotant à voix base contre cette bizarroïde d’Eleavia. Personne ne comprenait, elle n’avait rien de si spécial l’année précédente et pourtant, cette année elles auraient juré une autre fille, mais personne n’osait en parler, il y avait sans doute des trucs plus intéressant. Eleavia se laissa tomber sur son oreiller embarrassée par la situation. Elle aurait bien aimé contrôler se cauchemar qui revenait sans arrêt mais elle n’y arrivait pas.
Elle se croyait forte. Elle croyait qu’elle n’en avait pas besoin, qu’elle pourrait s’en passer mais elle avait eut tord. Ses nuits étaient cauchemardesque et ses journées aussi toutes autant. Ses ongles étaient rongés au sang, ses cheveux en pagaille et elle ne pouvait s’empêcher de charcuter sa baguette magique avec le peu d’ongle qui lui restait.
Bien que personne n’en parlait, la nouvelle arriva tout de même à la direction. Pas étonnent, Eleavia était rendu violente, dérangeante et elle avait l’air de jour en jour un peu plus cadavérique. On fit donc venir Eleavia dans le bureau d’une professeure.
PROFESSEURE – Eleavia Folco Ferrucio. Poudlard n’est pas un centre de désintoxication. Vous nuisez à vos camarades et votre comportement agressif est insupportable. Sans compter que vous faites honte à votre famille qui depuis toujours fréquente cette école. Je vais être dans l’obligation de vous renvoyez de l’établissement et ce jusqu’à ce que vous soyez totalement sevrer.
ELEAVIA – Non! Vous n’avez pas le droit de faire cela! Vous ne pouvez pas! Ce n’est pas vrai! Je n’ai aucun problème!
Des larmes envahirent les yeux de la jeune fille, son teint se pourpra et la rage se dessina sur son visage. Elle n’était pas colérique, elle ne l’avait jamais été, elle se contentait de s’exprimer maintenant là était la différence. C’est donc sur un pas décisif qu’elle se dirigea à grands pas vers l’enseignante en serrant les points et le cœur palpitant. Elle leva les mains en direction de son institutrice qui ne broncha pas d’un poil. La professeure sorti sa baguette et d’un mouvement fluide elle projeta l’étudiante contre un mur. Eleavia s’écroula sur le sol. Elle se recroquevilla sur elle-même en serrant ses genoux puis fondit en larmes.
PROFESSEURE – Je vous laisse une semaine pour vous améliorez si je vois qu’il n’y a aucuns changements, je vous renvoie illico presto chez vous. Je vous préviens, je ne veux même plus de cauchemars.
L’enseignante n’insista pas plus sur sa colère. Eleavia voyait bien qu’il y avait un problème, elle ne pouvait plus le niez, elle ne se contrôlait plus, elle en avait besoin et se besoin grandissant n’était pas disponible là où elle était. C’est dons en sanglot qu’elle chuchota en bégayant.
ELEAVIA – Pro… pro…promis.
- Chapter FOUR
«Pocketful of sunshine»
[u.c]
- Chapter FIVE
«Welcom on earth»
[u.c]
Accueil 
PARTIE RP [700, 2000] mots
